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Le cahier de brouillon de Joe Krapov
19 juin 2015

De la Pérectitude avant toute chose

Je me souviens de « La Guerre des boutons », un film d’Yves Robert d’après le roman de Louis Pergaud. Le personnage de P’tit Gibus y déclarait : « Si j’aurais su, j’aurais pas v’nu ! ».

Je me souviens du Duo des fleurs et de l’Air des clochettes de l’acné de Léo Delibes. (Ah non, c’est Lakmé !).

Je me souviens qu’en cas d’arrêt intempestif de l’ascenseur, il faut appuyer sur le bouton alarme, celui qui affiche une petite clochette avec un drôle d’air. En cas de non-fonctionnement de ce bouton alarme, que doivent faire les claustrophobes ?

Je me souviens de « Si je porte des chemises à fleurs / c’est que je suis en avance de deux ou trois longueurs / ce n’est qu’une question de saison / les vôtres n’ont encore que des boutons » (Les Elucubrations d’Antoine).

Je me souviens que le péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines constituait un gros point noir le dimanche soir. (Comment ? Je confonds « bouton » et « bouchon » ?)

Je me souviens des Inconnus et du sketch où Didier Bourdon disait « Il a pété un bouton, lui, hein ! ». Ah ? C’était un boulon ?

Boutons ! Boutons ! Je me souviens que Jeanne d’Arc gardait les siens à Domrémy. Elle les endormait le soir en les comptant et en leur contant ses espoirs de virer les Anglais de notre territoire : boutons les hors de France ! Non mêêêêh allô, quoi !

Je me souviens du bouton à cinq pattes, mais je confonds encore « bouton » avec « mouton ». Berde, alors !

Je me souviens que « La môme aux boutons » est une chanson de Pierre Louki dont l’interprète était Lucette Raillat.

Tant pis si ça vous donne des boutons : je vais vous la chanter aussi !
 

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Le cahier de brouillon de Joe Krapov
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