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Le cahier de brouillon de Joe Krapov
texte d'atelier d'ecriture
5 novembre 2021

Une seule référence en magasin / Joe Krapov

L'épigastre ?

Il s'encastre !
 

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29 octobre 2021

Magie du cerveau ! (Défi du samedi N° 687)

Ce n’est pas ipnmrotat la dlexysie : la puevre c’est que vous me cpmorneez même quand je malénge les letrtes !

2021-10-23 - Nikon 66

 

22 octobre 2021

Le parti pris du capodastre (DDS 686)

Le capodastre n’a rien à voir avec le caporal ni avec la science-fiction, les planètes, le ciel, enfin, l’astronomie.

Cependant, notons-le, qu’elle soit lactée ou pas, il aide à bien poser sa voie, pardon, sa voix.

Le capodastre n’est jamais qu’une espèce de pince à linge qui emprisonne à sa façon non pas quelque marcel ou autres pantalons, dessous affriolants pour qu’ils sèchent au vent, mais les six ou douze cordes d’une guitare ou les quatre d’un ukulélé afin que la chanson résonne dans le ton voulu.

Il permet de trouver d’aimable compromis lorsqu’un ténor léger fredonne en compagnie d’un coffreux baryton. Ne cherchez pas "coffreux", je viens de l’inventer.

Je trouve dommage au demeurant qu’il n’en existe pas pour les accordéons diatoniques, de capodastre ! Eux vous limitent et vous condamnent à do et sol, parfois du ré, à mi mineur et la mineur alors que moi, ma foi, rien ne me va si bien que le fa et le ré mineur.

Mais je sais bien qu’ici on quitte la musique pour parler de technique. Ce que c’est que d’avoir un oncle scientifique !

2021-10-22 - Nikon 2

15 octobre 2021

TAR' TA GUEULE A LA RÉCRÉ ! (Défi du samedi n° 685)

Il nous propose une baston !
Un uppercut sous le menton !
Un coup d’genou dans les roustons !

Se faire piétiner les arpions ?
Se faire traiter d’avorton ?
Se prendre deux ou trois jetons ?
Choper des gnons ?

Qu’on nous distribue des mandales ?
Qu’on nous bloque les cervicales ?
Qu’on se prenne des baffes en rafale,
Des coups d’savates aux génitales,
Qu’on en avale ses amygdales ?

Est-on suffisamment d’attaque
Pour affronter une baraque,
Un chef de mercenaires cosaque
Ou un super-métèque d’Ithaque,
Plus ou moins braque,
Qui vous refile des coups de matraque
En plein dans le creux d’l’estomaque ?

Chercher l’altercation,
Rêver de collision,
De coups de lattes au croupion,
De bleus, de contusions,
De bris de dentition,
D’hémoglobine
Qui se débine,
De pulvérisation
Jusqu’à l’extrême onction,
J’suis désolé, Tonton,
Ça frise l’in-correction !

Mais je ne dis pas « Ouste ! ».
Si t’as besoin d’une rouste
On peut se castagner,
S’empoigner,
Se foutre une peignée
Sur mon bel échiquier.

Je te laisse les blancs,
En tout bien tout honneur.
Commence, Monseigneur !
Si tu cherches un champion,
Si tu veux être vainqueur
Avance un petit pion
Ou sors un cavalier !

Tu vas voir ! Ça va chier !

DDS 685 iznogood-Renegoscinny-echecs

14 octobre 2021

Rayez la mention inutile ! (jeu de La Licorne n° 69)

Images pour conte MAB 01 princesse

 Il était une fois, il y a bien longtemps, juste après ce qu’on a appelé «la fin du monde», une princesse qui avait survécu - au cataclysme - au cataplasme - à la catastrophe. *

 Elle s’appelait - Punkette replète – Broque et pébroque – Paulette Rondelette *

Images pour conte MAB 02 montagne

Elle habitait un pays appelé - la Suisse – le petit suisse – le Sussex * qui était resté - neutre – neutron – feutrine * pendant les hostilités mais s’était quand même pris - une bombe A– un bombyx – une bombarde * sur le coin du - museau – Musso – Placid et Muzo *.

La Suisse est un pays plein de - montagnes – de montagnettes – de montures de lunettes *.

En ces temps - post-apocalytiques – post appeau-catalytique - pause tape-eucalyptus *, il continuait de pousser, le long de ses jolies routes - des arbres à plaques de chocolat - des arbres à came – des dames aux camélias *.

La princesse était peut-être désormais - la dernière habitante du monde – la dernière abonnée du journal « Le Monde » - la dernière habitude de revenir un peu ronde * - des cocktails d’ambassade – des coqueluches de temps maussade – des coquecigrues d’embrassades * sur le - museau – Musso – Placid et Muzo *.

 ***

 Un jour qu’elle s’en allait cueillir du chocolat, - Punkette replette – Broque et pébroque – Paulette rondelette * entendit - une voix douce – une voie d’eau – une voie royale – qui - l’interpellait – qui l’interpolait – qui l’enterre soupe au lait *.

 - Hep ! - Mademoiselle – Mademoisissure – Madame oiseuse *!

 Elle ne voyait - personne – persane – perspicace * mais la voix reprenait :

 - Hep ! - Jolie princesse – jauni pince-fesses – Johnny rince-nièce * !

 Cela venait de - dessous un buisson – de dessous le boisseau – de très soûles boit-sans-soif *.

 Images pour conte MAB 03 livre

Elle écarta - les feuilles – les deuils – les oeils * et découvrit un vieux - bouquin – bouquetin – bouc teint *. 

En agitant - ses pages – ses plages – ses aréopages *– il - s’énervait – s’énervurait – ses nervis raturait *.

 - Enfin, vous daignez - m’écouter brouillonne – me brailler les coudes – me brouiller l’écoute * !

 - Quelle mutation - bizarroïde – polaroïde – hémorrhoïde * est-ce donc là ? demanda-t-elle. Vous êtes un livre et vous – parlez – partez - pardonnez * ?

 - Je suis le livre du Grand Tout. - Je sais tout - je sèche tout - je sexe tout * sur la vie - secrète – secrétaire – Saint-Nectaire – nain sectaire * des écrivains.

 - Oh moi, vous savez, lui répondit - Punkette replète – Broque et pébroque – Paulette Rondelette *, - la littérature- la laitue ratée - la ruralité tue *, je lui ai toujours préféré une bonne série sur - Netflix – Netfisc – Netflic * !

 - C’est pourtant bien un - écrivain – écriteau – échevin * que vous devez aller trouver si vous voulez que la planète soit - repeuplée – roploplo – heureux peuplier *!

 - Il reste donc d’autres personnes que moi-même sur la - planète – panière – pas nette *?

 - Oui mais il faut vous - dépêcher – dépêtrer – Depléchin *. L’écrivain est – désespéré - désexpertisé - des esplanadé *. Il ne sait pas que vous existez et que la vie peut – recommencer – recommander - recommenter *.

 - Où est-il ? - Où perche-t-il ? - Où persil ? *

Images pour conte MAB 04 avion

 - Il habite dans - une île - une presqu’île - un exil *. On ne peut y aller qu’- en avion -en aviron - en amidon *.

 - Ca tombe bien, en Suisse on a l’habitude de monter des cols durs et il m’en reste un paquet à la maison.

 - De quoi donc ?

 - De l’amidon - de l’ami doux - de l’âpre mildiou*. Vous avez le GPS – incorporé - un porc goret - encore paumé * dans votre - avion – aviron – amidon *?

 Le - bouquin – bouquetin - Louboutin * se mit à tripler de - volume – volute – vol UTA -volupté * et il ressemblait maintenant à un joli tapis volant ne manquant pas de - caractère – phylactère – Natacha hôtesse de l’air *.

 - Installez-vous - dans la rainure – dans la nervure – dans la rainette *.

 ***

Jeu 69 de La Licorne cornette

En fait d’île, c’était - l’Angleterre – l’angle obtus – le triangle des Bermudes * dans lequel le temps du voyage disparaît. Le livre la déposa sous l’horloge de - Big Ben – Big brother – Bygmalion * dont il ne restait plus que la moitié.

 - Il est où, - l’écrivain – l’écrivant – l’écrivaillon * qui va me - repeupler – repalper - repieuter * le monde pour assurer - le futur – le futé – le futile *?

 Images pour conte MAB 05 crapaud

- Je suis là, dit un gros crapaud vert et - pustuleux – postulant – pestilentiel * qui se mit à grossir jusqu’à avoir taille - humaine – humide – humoresque *. Embrassez-moi sur le - museau – Musso – Placid et Muzo * et je me transformerai en prince - charmant – charmille -char d’assaut *.

 - Hé ho ! protesta - Punkette replète – Broque et pébroque – Paulette Rondelette *. Je ne mange pas de ce - pain-là – tapin-là – topinambour-là *!

 - Comment ? s’offusqua le livre du Grand Tout. Vous ne voulez pas redonner apparence humaine à - Guillaume – Guilledou – Gui l’an neuf * ?

 - Non ! Et elle tourna - l’étalon – le hongre – la jument *.

 ***

 - C’est la dernière fois que j’utilise une Suissesse comme personnage d’un de mes romans ! La vie n’est décidément pas un conte de - fées – méfaits – contrefaits *, se jura l’auteur du best-seller en inscrivant le mot « Fin » au bas de son - parchemin – porcherie - percheron *.

 
* Rayez la mention inutile !

Illustrations empruntées à Maïck conteuse

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8 octobre 2021

Camaïeu de biscayens à Cayenne (Défi du samedi n° 684)

C’est dans la gaîté
Des cours de récré
Qu’on rencontre Agate.

Elle est jolie, ronde,
Tout en transparence,
Vous tape dans l’oeil.

On rêve d’aller
Dans sa chambre jaune
Goûter ses mystères

(Son père, pâtissier,
Fabrique des glaces !).

DDS 6684 agates 2

Tiquette, deux billes !
La vie vous sépare,
Vous emmène dare-dare

Pour d’étranges noces
Mener chez le Tzar
De sombres intrigues,

Chez les Bohémiens
Aventures farouches,
Dans des châteaux noirs
Hanter des fauteuils,
Des vies ténébreuses,
Revenir de loin
Ou de l’opéra
Quelque peu fantôme.

DDS 6684 agates

Et puis tout s’arrête
De ces tournoiements
De différents temps.

Le sable a coulé
Entre vos doigts fins
En n’y laissant rien
De bien constructif.

Alors qu’on respire
Le parfum malsain
D’une dame en noir
Qui vient vous saisir
Avec le mot « fin »,

Comme au vieux traîneau
Du citoyen Kane
On pense soudain
A ce souvenir
D’une enfance enfuie
Et on se demande :

- Et toi, pauvre Agate,
Dans toutes ces bisbilles
Comment as-tu roulé ta bille ?

DDS 684 Joseph-rouletabille-reporter-3027

1 octobre 2021

Lot de proverbes zoulous doublés de pangrammes perecquiens (Défi du samedi n° 683)

Le proverbe touareg made in Breizh ne suffit plus à ce fou de Joe Krapov qui exige maintenant qu’on y fixe un pangramme !

Qui retentit dans la savane sans ménager ni bafouer passé et futur ? L’écho !

Une joie éléphantesque formidable : la glace à la vanille. Mais personne ne songe jamais à lui en offrir.

Si l’hippopotame enkysté dans la vase vous mange des yeux, c’est pour mieux vous becqueter. Fuyez, jolies proies et autres wapitis !

Plus le rhinocéros va de l’avant, plus il se figure que jamais il ne verra de la vie autre chose que le bout de sa corne.

La girafe a beau se trouver muette, chacun doit admettre qu’au jeu du paraître elle est élégante.

Chaque animal se débrouille pour éviter la figure et le rire jaune de la hyène. On se décarcasse comme on peut.

Palabrer sous le baobab n’empêche pas que le lion dévore la gazelle mais cela fait jaser, en wolof, le bavard.

Quand le disque du soleil est rayé d’un nuage le zèbre chagriné met fin à sa java et retrouve son problème : ses rayures sont elles blanches ou noires ?

2021-08-12 - 285 71

La panthère jamais ne songe que beaucoup de femmes des pays lointains veulent lui faire la peau.

La résistance du dromadaire est proverbiale, certes, mais figurez-vous qu’on est mieux calé, là-haut, juché entre les deux bosses d’un chameau.

Quand le temps est changeant le caméléon en son for intérieur traite le météorologue de jobard vicieux.

Chaque fois que tu es face à un tigre de papier, vérifie bien que tu n’es pas toi-même une tranche de jambon blanc... en papier !

Que la chandelle brûle le papillon par les deux bouts, soit ! Le muséologue fait mieux de s’acheter un joli filet, une valise et des épingles.

Le docteur Schweitzer joue du Bach à Lambarené. On a la salle Gaveau qu’on peut ! Le concert finit à minuit. 

Ces charlots de complotistes blancs affirment que l’alligator a caïman disparu du Sahara. Faux ! J’en ai vus dans mon dernier mirage.

Marcel Proust vaque la nuit et débine le jour les belles figures de la haute.

Dans la jungle, beaucoup de monde valide le fait que «C’est du chiqué, Marcel Proust !».

Marcel Proust ? Dandy ? Ephèbe ? Giton ? Faux-jeton qui vit en reclus !

Ni vieux zébu ni jeune yack ne se défient chaque samedi pour glorifier Marcel Proust. Etonnant, non ?

La sœur du chef du Mozambique ne galéje qu’avant la pluie. Autant dire qu’elle ne plaisante jamais.

Chaque proverbe bantou contient son lot de magie, de joie et de finesse.


Ce zoulou gonflé de Joe Krapov - qui s’imbibe rarement de vieux whisky - vous souhaite une bonne semaine !

24 septembre 2021

Mon goal y habite ! (Défi du samedi n° 682)

L’endroit le plus difficile à trouver dans une yourte, c’est le petit coin.

A part ça, si on a un vélo d’appartement, on peut y pédaler aussi facilement que dans la smoule.

2021 09 24 DDS 682 yourte collage

17 septembre 2021

Mais comment c’est (dé)rangé, ici ? (DDS 681)

Ça n’est pas de leur faute mais les hypermnésiques possèdent une mémoire XXL. Ce dont ils sont coupables cependant c’est d’avoir un système de classement très souvent bien pourri.

Ils sont bien les seuls à s’y retrouver dans leur fichu bazar, même s’ils sont les seuls à (s’)y chercher !

Dès lors, quand il s’agit d’effectuer une présentation claire de l’arbre généalogique, bonjour la panique ! Généa, oui, logique, non ! C’est ainsi qu’aujourd’hui, de mon grand sac à malice du pays des merveilles, j’ai choisi de sortir mes oncles et cousins Ducancer. C’est vous dire à quel point mon généalogique est un (dés)astrologique !

Présentons d’abord à vos regards étonnés l’oncle Bernard (Dimey) et l’oncle Henri (Salvador). Rien d’incohérent à cela vu leur fraternité (d’esprit). Ils ont composé ensemble « Syracuse ». Le premier est un poète sublime autant que marginal, l’autre nous a fait rire avec tout un tas de clowneries, de « Minnie petite souris » à « Zorro est arrivé », vous complèterez la liste vous-même !

Dans la même veine mi-poétique mi-déconneuse on a l’oncle Francis (Blanche) avec son «Général à vendre», son «Complexe de la truite», son «Débit de l’eau, débit de lait», ses impôts payés en pièces de dix centimes et son recueil de poèmes «Mon oursin et moi» dont je vous recommande vivement la lecture.

Parmi les pousseurs de chansonnettes on a aussi Tonton Pierrot (Perret), très porté sur le zizi et les cuisses de mouche, qui casse la vaisselle, ouvre la cage aux oiseaux mais loue avec tendresse «Lily», «Blanche» ou «Mon p’tit loup» et réclame des jardins pour les mômes.

J’ai des cousins dessinateurs, Marcel (Gotlib) et Georges (Wolinski). Le premier dessine des petits Mickeys, des gais-lurons, des souris, des coccinelles, des dossiers dingos et il range tout ça, lui aussi, dans un grand (ru)bric-à-brac XXL comme celui dont je parlais au début. Le cousin Georges ne pense qu’à ça mais il ne faut surtout pas dire que tous les hommes de la famille sont comme lui parce que… c’est la vérité ! Et dans la famille Duscorpion encore plus !

DDS 681 Montres mollesOn a un oncle Salvador (Dali) qui peint des montres molles et des apparitions de Lénine sur un piano mais lui est un peu fou (du chocolat Lanvin !). Je l’aime bien quand même.

Tonton Raymond (Depardon) fait de la photo et Tonton Claude (Chabrol) du cinéma.

Mais à part l’oncle Frédéric (Dard) et notre arrière-grand-père Jean (de La Fontaine) il y a peu de rigolos parmi les gens de la famille Ducancer qui ont fait profession d’écrire.

Quoique… Le grand-oncle Jean-Jacques (Rousseau) a écrit un traité d’éducation alors qu’il a abandonné ses enfants ! C’est drôle non ? Il a pondu le plus beau titre cancérien de la littérature française : « Les Rêveries du promeneur solitaire » et lancé avec ses « Confessions » la mode de l’autofiction nombriliste, ce dont on ne le remercie pas au vu de la prolifération actuelle d’écrits de ce type !

Notre grand-tante George en a fait des tonnes et des retournées. Elle a fumé le cigare, s’est habillée en homme, a désespéré Musset, appris la tristesse à Chopin, eu des tas d’amants mais est finalement restée pour l’éternité la bonne dame de Nohant, attachée à la famille, aux enfants, aux bons repas, à la maison, à la fantaisie : quelle idée de se faire appeler George alors qu’Aurore est un si beau prénom !

Je ne sais trop que penser de l’oncle Antoine (de Saint-Exupéry) : ce philosophe n’était-il pas un brin planeur ? Ni de Tonton Jean (Cocteau), enfant terrible et touche-à-tout dont je n’ai jamais rien lu.

Et c’est parmi ces scribouilleurs qu’on trouve le mouton noir de la famille, celui qui fait des phrases interminables, qui passe sa vie au lit et ne fait rien qu’à dégoiser sur le joli monde des salons parisiens, prétend à tout bout de champ que c’était mieux avant à l’époque du temps qu’on a perdu à faire des caprices de gamin qui ne comprend rien au monde et que, tel Caliméro, « c’est pas juste tout ça ! » même s’il a eu la chance de vivre sans travailler, de décrocher le Goncourt et d’être lu en mode quasi-obligé  par des tas de lecteurs masochistes qui encaissent sans moufter son phénoménal complexe d’Œdipe : « J’étais bien plus heureux, avant, quand j’habitais dans ma maman » décliné en 2300 pages pleines de coq-à-l’âne et vides de découpage en chapitres ! Oui, bien sûr, l’oncle Marcel (Proust), la caricature ultime de la famille, l’allergique, le rêveur naïf et bête, le concierge reclus, le cœur d’artichaut maladif, l’idiot des villages normands, celui qui fait jeter l’opprobre (et même l’eau sale) sur toute la famille Ducancer, le coupeur de poils de cul en huit, le tapé XXL par excellence.

N’es-tu pas de mon avis, cher Onc’ Walrus ?

DDS_681_P604_cancer

10 septembre 2021

Une Singerie (Défi du samedi n° 680)

DDS 680 Tu joues au whist E

L'Estivalienne posa la question au gars de droite qu'elle connaissait de longue date :

- Tu joues au whist, E.T. ?

- Pas du tout, répondit la créature de la planète Spielberg. On admire la collection de dames de coeur d'oncle Walrus !

DDS 680 Dame de coeur 01 6718d54082a62614ebff6571cfcd09e5

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